Liliane Cornec. Article paru en juin 1990, Ouest-France, édition de Quimper. Un lecteur contesta le terme de peinteuse à la réédition de cet article, le qualifiant de péjoratif. Pourtant, tranche Pierre Chiron dans le Télégramme du 23 décembre 2004, Peinteuse est un nom de métier, le signe d'une qualification professionnelle. Le terme est issu du vocabulaire des traditions de la faïence, et je tiens à le maintenir.» Pierre Chiron, P-dg des faïenceries et enfant du sérail, tient au maintien des usages. Il refuse la querelle de vocabulaire sur le nom de peinteuse, ou peinteur pour les hommes. L'atelier de peinture de la faïencerie HB Henriot compte 40 personnes, dont trois hommes.
Ajoutons que le terme figure bien nos dictionnaires sans connotation péjorative.
